jeudi 5 avril 2012

Petite pensée

Au Québec, on aime ça chiâler. Mais de temps en temps aussi, on aime ça changer les choses, pour le mieux. Je crois qu'il est plus que temps que les médias (déjà ça, ça aiderait), la population et les grandes cies qui produisent, s'occupent, font, gèrent, créent de l'art et/ou de la culture commencent à agir en conséquences. Le gouvernement retire son aide, il est temps de trouver l'aide ailleurs qu'au gouvernement. On chiâle parce qu'on ne peut plus être assis tranquilles sur notre derrière à regarder les nuages passer pendant que tout s'auto-finance. Et après? On a pas la guerre, on a pas la famine, on a pas de problèmes qui menacent directement nos vies, notre santé. On se lève debout, pis on fait quelque chose pour s'aider. Pis quand tout va encore tenir debout et même dans certains cas faire mieux qu'avant, le gouvernement va vouloir sa part, pis là ce sera le temps de dire, non. Les plus belles idées souvent sont nées de la nécessité. La culture québécoise est en nécessité.

À part ça pas grand chose...;)